AOUT 2018

La délibération cadre sur le temps de travail fixe des temps d'habillage, de déshabillage et le cas échéant de douche compris entre 10 et 20 minutes maximum par journée travaillée.

Ces temps maximum nous paraissent "limites" dans certains cas.

Ainsi, 20 minutes nous paraissent insuffisantes si la journée de travail comporte deux séquences de travail, incluant deux habillages et deux déshabillages-douches.

Par ailleurs, réserver les douches uniquement à des agents-es exerçant des travaux insalubres ou salissants nous apparaît très restrictif.

La Note aux agents-es n° 043 du 20/08/2018 informe que le CNFPT procède actuellement et jusqu’au 1er octobre 2018 au recensement pour les inscriptions aux préparations aux concours et examens.

Le concours et l'examen professionnel d'adjoint technique principal de 2ème classe, le concours d'auxiliaire de puériculture principal de 2ème classe et les concours d'éducateur des APS et d'éducateur des APS principal de 2ème classe sont notamment concernés (voir tableau récapitulatif).

Le bulletin d'inscription doit parvenir au service Emploi formation insertion au plus tard le 24 septembre 2018.

Le 17 août 2018, les syndicats FO et UNSA ont adressé le message suivant à M. Pierre LAPLANE, Directeur Général des services : 

«Fin juillet-début août, de nombreux-ses collègues travaillant dans des locaux fermés nous ont contacté pour nous faire part de conditions de travail    pénibles, en raison de l’épisode caniculaire qui a traversé les communes de l’Eurométropole.

Ces collègues exercent leurs fonctions dans des bureaux, des ateliers, des écoles, des musées, etc…, qui ne sont pas «climatisés».

Souvent, ces lieux de travail sont simplement équipés de ventilateurs.

Ces équipements basiques ne sont pas très efficaces en cas de canicule prolongée.

Nous demandons qu’une étude soit menée au niveau de notre collectivité afin d’envisager toutes les mesures qui permettraient d’abaisser la température ambiante dans les lieux de travail.

Il pourrait s’agir d’aménagements lourds (type «climatisation»), mais également d’équipements individuels (climatiseurs, rafraîchisseurs d’air, ventilateurs-brumisateurs).

Cette étude pourrait également porter sur les deux restaurants administratifs.»

 

La Note aux agents-es n° 042 du 17/08/2018 accorde des facilités horaires aux agents-es travaillant le jour de la rentrée des classes, si elles ne perturbent pas le bon fonctionnement de l'administration.

L'enfant doit être inscrit dans un établissement d'enseignement pré-élementaire ou élémentaire ou entrer en classe de sixième ou intégrer un établissement médico-social (si l'enfant est handicapé).

Les heures non travaillées ne sont pas à récupérer (dans la limite maximale de 2 heures).

Le 14 août 2018, suite à la rencontre du 25 juillet 2018 concernant le service de la Police Municipale, l'Intersyndicale CFDT-CFTC-CGT-FO-UNSA a formulé des demandes complémentaires auprès de l’administration (voir Info du 28 juillet 2018).

Ces demandes portent notamment sur les points suivants :

• amélioration du dispositif d'indemnisation du travail de nuit proposé,
• meilleur déroulement de carrière pour les agents-es, en contrepartie du dispositif d'indemnisation moins favorable (non-évolutivité en fonction d'avancements d'échelon et de grade),
• compensation à la hausse de l'indemnisation pour les nouveaux entrants (à compter du 1er janvier 2019),
• exclusion de l’Indemnité Spéciale de Fonction (I.S.F.) des modalités de calcul d’attribution des chèques-vacances.

La délibération cadre sur le temps de travail rappelle certains des principes concernant les pauses qui figuraient dans la délibération du 10 juillet 1998 instaurant les 35 heures à la CUS.

Mais, elle apporte des "précisions" qui ne vont pas dans le sens des agents-es.

Octroi d'une pause

"Lorsqu'une activité justifie d'une "pénibilité", une pause de 15 minutes maximum est accordée pour une séquence de travail de 4h, pause comprise".

Dans la délibération du 10 juillet 1998, il était question de "séquences de travail de l'ordre de 4 heures".

Comptabilisation du temps de pause comme temps de travail effectif

"Le temps de pause n'est comptabilisé comme du temps de travail effectif que pour autant que l'agent-e a l'obligation, à raison de fonctions spécifiques, d'être joint à tout moment afin d'intervenir immédiatement pour assurer son service et ne peut dès lors, pendant cette période, vaquer librement à ses occupations personnelles".

Quelles sont ces fonctions spécifiques ?

Il est clair que les agents-es des piscines ou les agents-es de police municipale doivent être disponibles à tout moment, en cas d'urgence.

Mais, le temps de pause ne va-t-il plus être comptabilisé comme temps de travail pour les agents-es des services techniques, par exemple ?

A compter du 16 août 2018, la menue monnaie ne sera plus acceptée ni rendue dans les deux restaurants administratifs. Le rechargement du badge en caisse ne pourra se faire que par des sommes arrondies, en billet (par tranche de 10 €).

Afin de réduire la file d'attente à la caisse des restaurants administratifs, et conformément à la charte d'utilisation des restaurants, il est rappelé que le rechargement en espèces des badges doit rester exceptionnel.

Nous vous invitons à privilégier, dans la mesure du possible, un rechargement de votre badge sur les bornes ou via Pop&Pay (notamment accessible par l'appli Api sur smartphone).

La Note aux services n° 041 du 07/08/2018 modifie temporairement l'organisation du service Médecine du travail à compter du 27 août 2018, suite au départ d'un médecin du travail.

Le syndicat FO avait interpellé le service des Moyens Généraux par rapport à différents dysfonctionnements constatés au niveau du restaurant administratif de la Fédération :

• depuis 2 mois, sur les 3 fontaines à eau, 2 sont en panne;
• depuis plus d’un mois, il y a un groupe réfrigérant pour les entrées et les desserts qui ne fonctionne plus.

Voici la réponse apportée :

"1/ Fontaines à eau: elles sont en commande et devraient arriver sous peu.

2/ Vitrine réfrigérée: plusieurs interventions ont été effectuées sur cet élément. La réparation est en cours.

Sur les deux points ci-dessus il est à noter que le nouveau prestataire a dû faire face à de nombreuses pannes et dysfonctionnements au moment de la reprise du matériel laissé par l’ancien prestataire."