En nous référant au compte-rendu que nous ont établi nos collègues, il serait ressorti de cet échange qu’aucune des alternatives que nous avons évoquées dans notre mail du 27 avril dernier n’ait fait l’objet d’une réflexion approfondie.
Seul un état complet des mobilités alternatives existantes au niveau de notre collectivité leur a été présenté à cette occasion : réseau CTS, VAE…… ; Alternatives toutefois inadaptées pour un certain nombre de nos collègues.
Quant aux pistes d’améliorations que nous vous avions exposées, il leur aurait été apporté les réponses suivantes :
- Concernant la création de places de stationnement dans la cour, le service aurait répondu que la Direction de la Culture s’y opposait sous le prétexte de ne pas vouloir rompre l’équité entre tous les agents-es œuvrant dans ce lieu.
Rappelons toutefois que certains-es, peu éloignés-ées de leur lieu de travail, effectuent le trajet domicile-travail en utilisant déjà les alternatives disponibles, d’ailleurs bien connues de toutes et tous, et de ce fait ne se sentent pas concernés-ées par cette demande.
En outre, à aucun moment il n’a été demandé d’attribuer des places de stationnement attitrées à certaines personnes au détriment des autres, mais juste d’autoriser la mise à disposition d’un nombre de places de stationnement tenant compte de la configuration de la cour (possibilité d’y dégager environ 4-5 places)
Une telle initiative permettrait au contraire de rétablir une certaine équité avec leurs collègues du Centre Administratif qui disposent d’un parking réservé au personnel et n’engendrerait par ailleurs aucun coût supplémentaire à la collectivité.
- Concernant le silo à stationnement, il aurait été conseillé aux agents-es de souscrire un abonnement auprès du gestionnaire de cet ouvrage pour y stationner leur véhicule et de l’intégrer ensuite à leurs frais réels lors de la déclaration d’impôts.
Cette observation n’est pas opportune et par conséquent inconcevable compte-tenu que les autres agents-es de notre administration bénéficient quant à eux-elles d’une participation de l’employeur à leur frais de transport.
Aussi, nous trouvant face à l’absence de propositions réellement adaptées, nous vous saurons gré de bien vouloir interférer en faveur de ses collaborateurs-trices afin qu’une réflexion objective soit engagée pour tendre vers une solution satisfaisante et pérenne."