petite enfance

Nos partenaires du syndicat FO avaient adressé le 24 mai 2022 un message à Mme Delphine JOLY, DGS de l'Eurométropole de Strasbourg  (voir Article du 28/05/2022).

Voici la réponse apportée le 2 août 2022 par la Direction de l'Enfance et de l'Education :

"Vous nous avez interpellé concernant les quantités insuffisantes de nourriture fournies par le prestataire de restauration au sein des établissement accueillant de jeunes enfants et en particulier concernant les quantités de protéines.

Par message du 27 mai 2022, la Direction de l'Enfance et de l'Education a répondu avoir pris bonne note de l'alerte du syndicat FO auprès de la DGS.

La DEE procède actuellement à quelques investigations et fera un retour dans le courant de cette semaine.

Nos partenaires du syndicat FO ont adressé le 24 mai 2022 le message suivant à Mme Delphine JOLY, DGS de l'Eurométropole de Strasbourg :

"Nous venons d’apprendre que les repas livrés aux jeunes enfants et aux adultes de certaines structures de la Petite Enfance feraient l’objet d’un rationnement de la part du prestataire «l’Alsacienne de Restauration».

Il semblerait en effet que la quantité des ingrédients présents dans les plats fournis à ces jardins d’enfants ait été réduit.

Ainsi après pesage, il semblerait que les plats individuels contiendraient environ 10 grammes de protéine en moins qui sembleraient compensés en partie par des féculents. Donc au détriment de la viande, du poisson, des œufs….

Le 27 avril 2021, l'UNSA a adressé le message suivant à l'administration :

"Depuis hier, les écoles maternelles et les structures petite enfance sont de nouveau ouvertes et accueillent les enfants en présentiel, alors que la situation sanitaire est toujours dégradée.

Sur le territoire de l’EMS, le taux d’incidence - 332,5 nouveaux cas pour 100 000 habitants – est largement supérieur au seuil d’alerte maximum.

Les ATSEM et les professionnels de la petite enfance âgés-ées de plus de 55 ans ont accès à la vaccination.

L’Éducation Nationale devrait allouer aux ATSEM travaillant dans les écoles maternelles 2 autotests par semaine.

Nous proposons que l’EMS mette à disposition des autres personnels en contact avec les enfants, notamment les accueillants-es petite enfance et les animateurs-trices, 2 autotests par semaine."

Voici la  réponse du 21 avril 2021 de la DRH au message du 18 avril 2021 de l'UNSA concernant la vaccination contre la covid-19 (voir INFO du 18 avril 2021) :

"Nous avons bien pris note de vos remarques et interrogations concernant la communication sur les différentes filières de vaccination de nos agents.

Je précise tout d’abord que l’ensemble du dispositif de vaccination que nous assurons suit scrupuleusement les consignes et préconisations de l’Agence régionale de santé. Les critères et filières de vaccination décrits dans notre communication en découlent directement.

Ainsi, concernant les ATSEM, personnels de la petite enfance et policiers municipaux, nous ne faisons qu’appliquer les directives nationales pour la constitution d’une filière de vaccination spécifique. Nous n’avons d’ailleurs par l’accord pour vacciner ces professionnels avec le vaccin à ARN messager de Pfizer.

En ce qui concerne votre seconde demande (ensemble des agents respectivement âgés de plus de 60 ans ou entre 55 et 59 ans), il s’agit de critères de vaccination qui concernent la population générale, sans lien aucun avec la situation professionnelle. Ces personnes ne peuvent donc pas bénéficier d’une ligne prioritaire. Elles peuvent évidemment se faire vacciner au centre de la Bourse, sans priorisation particulière."

Le 18 avril 2021, l'UNSA a adressé le message suivant à la DRH, après la diffusion du message du 16 avril 2021 de la DRH à l'attention de tous-tes les agents-es, concernant la vaccination contre la covid-19 :

"Nous apprécions que les créneaux proposés au niveau de la Médecine du travail soient élargis aux lundis.

Mais, l’EMS pourrait mieux faire pour les policiers-ères municipaux-ales, les ATSEM et les professionnels de la petite enfance, âgés-ées de plus de 55 ans.

Ces collègues font pleinement partie de l’EMS et sont, pour nous, à traiter sur un pied d‘égalité avec les agents-es exerçant les métiers du médico-social et de la santé. Tous les agents-es de l’EMS doivent bénéficier d’un traitement identique.

Nous demandons donc que des créneaux soient proposés au niveau de la salle de la Bourse à ces collègues. Des créneaux réservés aux agents-es de l’EMS y sont encore disponibles en nombre suffisant.

Par ailleurs, il manque deux catégories d’âge dans votre message :

• les + 60 ans, éligibles au vaccin Pfizer depuis le 16 avril 2021 : pour nous, les créneaux de la salle de la Bourse doivent leur être ouverts;
• les 55 - 59 ans, éligibles à la vaccination depuis le 12 avril 2021 : certes, seul le vaccin AstraZeneca peut leur être administré dans l’immédiat, mais cette catégorie d’âge ne peut pas être oubliée, au moins au niveau de la réflexion (et de la communication). 

Enfin, dans un prochain message, il serait aussi utile de préciser que la vaccination des collègues « vulnérables » est effectuée au niveau de la Médecine du travail, au Centre Administratif, et non dans la salle de la Bourse, comme indiqué dans les messages de confirmation des rendez-vous envoyés par mail."

Le 16 avril 2021, l'UNSA a adressé le message suivant à Mme Delphine JOLY, Directrice Générale des services :

"Nous avons appris avec satisfaction que les créneaux proposés pour les agents-es de l’EMS au niveau de la Médecine du travail ont été doublés à partir d’aujourd’hui.

Le Premier ministre a annoncé hier que des créneaux dédiés seraient ouverts dès ce week-end dans des centres de vaccination aux enseignants et policiers de plus de 55 ans.

Cette mesure concernera notamment les professionnels de la petite enfance, les policiers et les ATSEM.

Nous vous remercions de nous faire savoir si nos collègues de plus de 55 ans rentrant dans ces catégories de personnels peuvent d’ores et déjà se faire inscrire pour l’un des créneaux proposés au niveau de la salle de la Bourse pour les agents-es de l’EMS."

Mme Delphine JOLY a répondu :

"Votre interrogation pertinente rejoint la communication générale, et la communication particulière aux agent.es concernés, que nous adresserons aujourd’hui."