EDITOS 2014

EDITO DU 8 DÉCEMBRE 2014

ELECTIONS PROFESSIONNELLES 
DU JEUDI 4 DECEMBRE 2014

Au niveau du comité technique, avec 5,7 % des voix, l'UNSA progresse de + 0,7 % par rapport aux élections de 2008. 

Elle est l'une des trois seules organisations syndicales présentes en 2008 qui progressent. 

7ème sur 7 en 2008, l’UNSA est 6ème sur 9 en 2014

Il est à noter que la CFDT recule très fortement (- 4,4 %). 

Pour la première fois, l'UNSA obtient un siège dans un organisme paritaire : en l'occurrence dans la commission administrative paritaire de catégorie B.

L'UNSA remercie tous les collègues de la CUS qui lui ont fait confiance.


 

EDITO DU 1ER DÉCEMBRE 2014

Au-delà d'un échec parfaitement prévisible .... 

La grève générale initiée le 28 novembre 2014 par la CGT, accompagnée par 5 autres organisations syndicales, s'est achevée par un flop.

Aucun résultat au bout : l'externalisation du nettoyage dans 12 écoles de STRASBOURG n'est pas remise en cause par les élus. Les orientations budgétaires se traduisant par une réduction des effectifs non plus.

La CGT, la stratégie de l'échec

La CGT est l'archétype du syndicalisme qui privilégie comme moyen d’action la grève.

En 2012, la CGT n'a pas réussi à empêcher l'externalisation du nettoyage dans 2 écoles. Et, elle réussirait maintenant à empêcher une nouvelle vague d'externalisations, dans un contexte budgétaire beaucoup plus contraint qu'en 2012 ? Sans compter les pépins constatés ces derniers jours à l'usine d'incinération, pépins (1) dont le traitement aura certainement un coût budgétaire conséquent ....

Contre l'externalisation du nettoyage, la CGT a déjà appelé à de multiples actions, notamment à 3 grèves d'une journée.

Le 19 novembre 2014, le comité technique paritaire a émis un avis favorable à l'externalisation du nettoyage dans 12 écoles supplémentaires. La CGT, qui occupe pourtant 5 sièges sur 10 au niveau de la représentation du personnel, n'a pas réussi à convaincre les élus et les représentants de l'administration de renoncer à leur décision, ou tout simplement à y surseoir.

Echec total de la CGT !

L'UNSA, le choix de la négociation

Pour l’UNSA, depuis plusieurs semaines, il était évident que le dossier de l'externalisation du nettoyage dans 12 écoles était "plié".

La Direction de l'Enfance et de l'Education a rédigé l'appel d'offres correspondant ou elle est en train de le finaliser. Cet appel d'offres fera prochainement l'objet d'une délibération au niveau du conseil municipal de STRASBOURG. A partir du 1er mai 2015, le nettoyage des 12 écoles sera réalisé par des régies de quartier.

Plutôt que de se battre contre des moulins à vent, l'UNSA préfère négocier de bonnes conditions de reclassement pour les 17 agents d'entretien travaillant actuellement dans les 12 écoles concernées.

Il s'agit là d'un accompagnement dans l'intérêt de ces collègues.

Les conditions de travail, la priorité pour l'UNSA

Nous savons que certains collègues étaient en grève vendredi dernier en raison de problèmes de management ou d'une mauvaise ambiance dans leur service, de manière plus générale à cause de mauvaises conditions de travail.

Un exemple parmi d'autres : la situation à l'Unité Territoriale Sud du service Action sociale territoriale (Meinau-Neuhof).

L'administration a décidé de supprimer un poste d'assistante sociale suite au départ de la CUS de la titulaire du poste.

L'UNSA est intervenue à ce sujet lors de la réunion IPD-CTP du 13 novembre 2014. Réponse de l'administration : le poste n'a pas été supprimé, mais "transféré" à l'Unité Territoriale Centre. Vous apprécierez la nuance ....

Déshabiller Pierre pour habiller Paul ! Tout un chacun sait que la crise ne frappe pas le Neuhof, et que le climat social y est d'ailleurs en très nette amélioration.

Il est bien évident que la charge de travail a augmenté pour les collègues qui restent et que leurs conditions de travail sont en train de se détériorer.  

Cela n'est pas acceptable pour l'UNSA !

Cerise sur le gâteau : une collègue de la même unité a été victime le 15 octobre 2014 d'une agression, ayant entrainé un arrêt de travail de plusieurs semaines.

Un mois et demi après, le CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) n'a toujours pas fait d'enquête sur le terrain !

Une gestion désastreuse de certains contractuels

Autre problématique qui explique que certains agents se sont mis en grève le 28 novembre 2014 : la situation de certains contractuels. 

Le dazibao qui est apposé depuis plusieurs jours à l'entrée du service Informatique illustre parfaitement le niveau désastreux de la gestion de plusieurs catégories de contractuels à la CUS :

INFORMATIQUE
6 COLLEGUES CONTRACTUELS MENACES DE PERDRE LEUR EMPLOI !

Au service des Médiathèques, la CUS prévoit de "virer" des contractuels AMA - agents momentanément absents - et de les remplacer par d'autres. Résultats des courses : la CUS paiera les indemnités chômage aux anciens contractuels, en plus de rémunérer les nouveaux contractuels. 

Quel gâchis social et financier ! 

La CUS refuse de CDiser une quinzaine de contractuels "besoin de service" justifiant de 2 contrats de 3 ans, sous prétexte qu'ils sont susceptibles de bénéficier en 2015 de la stagiairisation par le biais de la sélection professionnelle. Résultats des courses : des contractuels ayant moins d'ancienneté seront déprécarisés avant eux.

Bonjour l'ambiance ! 

La CUS annonce à des contractuels de catégorie A qui sont stagiairisables après sélection professionnelle qu'ils vont perdre jusqu'à plusieurs centaines d'euros par mois, lors de leur reclassement.

C'est particulièrement motivant !

Si tout se passe bien le 4 décembre 2014 - et, il n'y a pas de raison que cela se passe mal -, l'UNSA demandera officiellement l'ouverture de négociations sur les modalités de reclassement de ces contractuels.

Bien d'autres sujets devront faire l'objet de négociations.

Il y aura du boulot : la culture de la négociation n'est pas encore bien ancrée au sein de notre digne administration. 

Il faudra que celà change. L’UNSA fera tout pour ! 

(1) De l’amiante a été découvert dans les fours. L’usine d’incinération est à l’arrêt, dans l’attente d’un désamiantage qui durera plusieurs années. 


 

EDITO DU 20 NOVEMBRE 2014

Quelle stratégie syndicale
ces quatre prochaines années ?

Dans quelques jours - si vous votez par correspondance - ou le jeudi 4 décembre 2014 - si vous votez à l’urne -, vous élirez, pour les 4 ans à venir, vos représentants au sein :

  • du comité technique
  • et/ou de la commission administrative paritaire correspondant à votre catégorie.

Au-delà du choix de personnes, 
vous choisirez également entre deux formes de syndicalisme.

D’une part, un syndicalisme qui privilégie comme moyen d’action la grève. Ce syndicalisme a montré ses limites en 2003 lors de la grève dure sur le régime indemnitaire : plus de 15 jours de grève pour aucun résultat. Il est en train de montrer toutes ses limites dans les grèves à répétition au niveau de la Direction de l’Enfance et de l’Éducation. Là aussi, il n’y a aucun résultat.

Pour sa part, l’UNSA privilégie la négociation

Ces quatre prochaines années, le dialogue social à la CUS sera fortement impacté par le dossier de la diminution des effectifs. S’y opposer frontalement, sans aucun espoir de résultat, reviendrait à laisser toute la main aux élus et à la Direction Générale. 

Ne vaut-il pas mieux discuter des choix des élus en matière de service public, des réorganisations nécessaires suite à des suppressions de poste, des conséquences de ces suppressions de poste sur les conditions de travail des agents ? 

Pour l’UNSA, il sera essentiel que les suppressions de poste n’entraînent pas de détérioration des conditions de travail.

Voici le syndicalisme que nous vous proposons. 

Le jeudi 4 décembre 2014, 
Osez le syndicalisme qui privilégie la négociation ! Votez UNSA ! 


 

EDITO DU 10 OCTOBRE 2014

Non à la remise en cause des 35 heures !

Pour l’UNSA, des sujets aussi importants et sensibles que le temps de travail ou les rémunérations valent autre chose que des propos à l’emporte-pièce.

L’UNSA prend acte que les déclarations sur ces questions de Monsieur Macron, rapportées par l’hebdomadaire «Le Point», ont été faites alors qu’il n’était pas ministre. D’un désormais ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique d’un gouvernement prônant le dialogue social, l’UNSA attend une autre attitude.


Pour l’UNSA, l’horaire légal de travail à 35 heures est une référence qu’il est hors de question de remettre en cause. Des dispositifs légaux existent permettant de modifier horaires et rémunérations pour les entreprises en difficulté dans un cadre négocié.

La situation économique, sociale, et, désormais, politique de notre pays est trop grave pour que se perpétue la méthode des ballons d’essai et des postures.

La remise en cause des 35 heures, qui est un hochet régulièrement agité par des politiques de tous bords - comme la remise en cause du repos dominical -, est un complet non sens par rapport à la priorité de la lutte contre le chômage.

Faire travailler plus les salariés qui ont du travail ne donnerait évidemment pas de travail à ceux qui n'en ont pas ! 

Bien au contraire, en raison de sureffectifs qui en résulteraient, le chômage augmenterait encore plus !!

La dernière sortie du MEDEF sur le sujet est tout simplement surréaliste ! Pourquoi ne profite-t-il pas déjà des milliards d’euros d’allègements de charge dont bénéficient les entreprises pour créer des emplois ?


 


EDITO DUI 24 AOÛT 2014

Réduction des effectifs :
Dégâts collatéraux ?

Lors de la réunion «Agenda social» du 3 juillet 2014, une réduction des effectifs de la CUS a été annoncée jusqu'en 2020, en raison des contraintes budgétaires liées à une diminution significative de la DGF (Dotation Globale de Fonctionnement) versée par l'État.

Selon la feuille de route présentée, une partie (???) des 500 agents quittant chaque année la CUS, notamment suite à des départs à la retraite, ne serait pas remplacée.

Cette réduction des effectifs risque de provoquer des dégâts collatéraux, entre autres à deux niveaux.

Les agents sous contrat «VTE»

Les agents sous contrat «vacance temporaire d’emploi» qui ont été recrutés il y a 3 ou 4 ans étaient déjà plus ou moins sur des sièges éjectables. La réduction des effectifs risque d’autant plus de se faire sur leur dos.

Pour l’UNSA, il s’agit d’un mauvais calcul. La CUS va se priver de talents avec un coût social élevé (et, accessoirement, avec un coût financier pour la collectivité, qui paiera lesindemnités chômage).

Le temps partiel sur autorisation

N’obtenant plus le remplacement de tous les départs à la retraite, certains services vont être tentés de refuser des temps partiels. De fait, des collègues ont déjà fait part à l’UNSA d’échos dans ce sens.

Pour l’UNSA, il s’agit là également d’un mauvais calcul. Cela créera de la frustration pour les collègues à qui le temps partiel aura été refusé. Et les recrutements potentiels seront encore plus réduits, puisqu’il n’y aura pas besoin de remplacer des collègues à temps partiel. 


 

EDITO DU 20 JUIN 2014

Mutuelle de France Prévoyance :
Quelques couacs à rectifier !

Nous avons assisté le 11 juin 2014 après-midi à la présentation des nouveaux dispositifs de prise en charge des risques «santé» et «prévoyance» respectivement par Mut'est et Mutuelle de France Prévoyance.

Nous avons été surpris d'apprendre que Mutuelle de France Prévoyance ne verserait que 41 % du traitement net en cas de passage au demi-traitement (après 90 jours de maladie ordinaire, après un an de congé de maladie ou de grave maladie, après 3 ans de congé de longue durée).

Il y aurait donc une perte de 9 % du traitement, en matière d’indemnités journalières (IJ) (*) !

Cette mutuelle a manifestement mal interprété le cahier des charges, qui prévoit le versement d'une indemnité égale à 41 % du traitement de base, donc brut.

Même si le contrat au rabais a été validé par les organisations syndicales siégeant au Comité Technique Paritaire, cela ne vaut  pas accord de l’UNSA.

L'UNSA est immédiatement intervenue auprès du Premier Adjoint au Maire, M. Alain FONTANEL. 

Une diminution des garanties n'est pas acceptable

En cas de maladie, les agents ne doivent pas subir de baisse de leur revenu (en dehors de la diminution de la prime de Noël). 

Un autre problème se pose quant aux modalités de versement de l'indemnité par Mutuelle de France Prévoyance

Elle serait versée avec un retard certain ! 

(*) sur les documents qui sont en cours d’envoi, cette garantie devrait apparaître sous le terme «Incapacité temporaire de travail» (ITT). 


 

EDITO DU 20 MAI 2014

Améliorer le pouvoir d’achat !

Au niveau de la CUS, l'UNSA a demandé le 17 mai 2014 à M. Alain FONTANEL, Vice-Président chargé du personnel, et à M. Olivier BITZ, Adjoint au Maire chargé du personnel, l’ouverture de discussions sur le pouvoir d’achat des agents de la CUS.

Dans cette perspective, nous leur avons transmis nos demandes inscrites dans un plan d’amélioration du pouvoir d’achat 20142020.

Ce plan est détaillé dans l'Info du 19 mai 2014.

Les demandes de l’UNSA portent sur 5 points :
 

  • régime indemnitaire,
  • chèques-vacances,
  • mutuelles,
  • aide à la garde d’enfant,
  • avancements de grade. 

Ces demandes ne sont bien évidemment pas exclusives des mesures déjà en discussion (entretien des effets d’habillement notamment).

Au niveau national, les organisations syndicales CGT, CFDT, UNSA, FSU, Solidaires, CFTC et FAFPT ont rappelé leurs revendications en matière salariale en préliminaire d’une réunion tenue le 19 mai 2014 avec la Ministre de la Fonction publique (voir Communiqué commun du 19 mai 2014).

La Ministre n’a pas pris d’engagement sur le point d’indice.

Cependant, le gouvernement n’étant pas insensible à la mobilisation du 15 mai, elle a annoncé une prochaine réunion sur la question du pouvoir d’achat.

Une enveloppe pourrait être dégagée pour discuter avec les syndicats ….
  


 

EDITO DU 15 AVRIL 2014

2014 - 2020 :
Une meilleure gouvernance sociale !

Dans un message du 31 mars 2014 au nouveau (et ancien) Maire de STRASBOURG, l'UNSA a souhaité que le nouveau mandat de 6 ans soit placé sous le signe d’une meilleure gouvernance sociale. 

Certes, la CUS a reçu en 2013 le prix TERRITORIA OR. 

Mais, ce prix a quelque peu été usurpé, c'est le moins qu'on puisse dire. 

En matière de dialogue social, le début du dernier mandat avait été marqué, après les élections professionnelles de novembre 2008, par la signature d'un protocole d'accord sur le droit syndical globalement en net recul par rapport au précédent. 

Bien évidemment, l'UNSA avait refusé de signer ce protocole d'accord, taillé sur mesure pour la première organisation syndicale, après une parodie de négociation. 

Le mandat s'est achevé par une véritable mascarade dans le dossier du télétravail. 

Lors de la dernière réunion de concertation du 28 janvier 2014, il nous avait été indiqué que des documents nous seraient transmis pour le 12 février 2014. 

Il n'en a rien été. 

Sous prétexte de passage devant le CHSCT, la plupart des organisations syndicales, dont l'UNSA, ont été exclues des discussions pendant 2 mois. 

Après plusieurs relances, des documents de travail, élaborés avec seulement 4 organisations syndicales, ont été transmis, au compte-gouttes, à partir de la mi-mars 2014. 

Dans la perspective d'éviter à l'avenir un tel couac, préjudiciable aux agents de la CUS, l'UNSA a proposé au Maire de STRASBOURG qu'il prenne très rapidement l’initiative d’une rencontre avec l’ensemble des organisations syndicales.



EDITO DU 24 MARS 2014

Élections professionnelles
du 4 décembre 2014

Dans 8 mois, le 4 décembre 2014, se tiendront les élections professionnelles dans la fonction publique.

Pour la première fois, les agents des trois versants de la fonction publique - territoriale, hospitalière et Etat - voteront le même jour pour  élire leurs représentants dans différentes instances, plus nécessairement paritaires.

Au niveau de la CUS, 3 catégories d’instances donneront lieu à élection :

  • Comité Technique : fonctionnaires et non titulaires,
  •  Commissions Administratives Paritaires : fonctionnaires,
  • Commissions Consultatives Paritaires : non titulaires.

Par ailleurs, il y aura toujours un CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail). Mais, il n’y aura plus d’élection des représentants du personnel. Ceux-ci seront désignés par  les organisations syndicales en fonction des résultats au comité technique.

L’UNSA sera pleinement présente dans les élections professionnellesdu 4 décembre 2014 (en 2008, les listes - incomplètes - avaient été constituées au dernier moment, le syndicat n’ayant été créé que le 9 septembre 2008).

Notre objectif est d’avoir des sièges dans toutes les instances.

Les excellents résultats que viennent d’engranger en Alsace des équipes UNSA dans deux grandes entreprises nous confortent dans cette ambition :

  • SNCF : l’UNSA devient le premier syndicat;
  • Caisse d’Épargne: l’UNSA conforte sa première place avec 65,4 % des voix.


EDITO DU 24 FÉVRIER 2014

Mutuelles :
Le flou le plus absolu sur les cotisations

Dans l'Edito du 17 février 2014, nous indiquions que nous n'étions pas en mesure de fournir une quelconque indication sur le montant des futures cotisations effectivement à la charge des agents.

Lors des 4 réunions d'information syndicale organisées par la CFTC, FO et l'UNSA les 20 et 21 février 2014, les participants ont manifesté leurs attentes sur ce point, bien évidemment essentiel.

Cela ne nous a pas surpris.

Le Conseil de CUS a adopté le 21 février 2014 la délibération portant sur la Participation à la protection sociale complémentaire des agents : Choix de l'offre.

Mais, c'est toujours le flou le plus absolu qui persiste à propos des cotisations.

A ce jour, le seul document transmis à l'UNSA est le projet de délibération du 21 février 2014, qui ne contient aucun élément sur les tarifications proposées par les deux opérateurs retenus.

Par message du 21 février 2014, les syndicats CFTC, FO et UNSA ont demandé à l'administration que les offres déposées par les opérateurs retenus (Mutuelle de France Prévoyance et Mut'est) leur soient transmises, notamment en ce qui concerne les tarifications

Ils ont également demandé la communication de la synthèse de l'examen des offres pour les deux risques. 

Nous attendons ces documents pour le début de semaine.

Dans l'Edito du 17 février 2014, nous indiquions également que pour le risque «santé» comme pour le risque «prévoyance», un prestataire était sorti du lot.

Il nous aurait fallu préciser que cela n'engageait pas l'UNSA.

Le 11 février 2014, l'analyse des propositions a été présentée sous forme d'une projection d'un document complètement illisible. Aucun document papier ou électronique ne nous a été remis, ni pendant la réunion, ni après.

Un point nous a notamment surpris lors de cette présentation.

Les différentes offres (8 pour le risque "prévoyance" et 6 pour le risque "santé") ont été notées suivant 5 critères, dont le premier relatif à la tarification.

Pour le risque "prévoyance" comme pour le risque "santé", c'est le prestataire dont la tarification était la plus proche de la moyenne de l'ensemble des tarifications proposées qui recevait la meilleure note, et non celui qui proposait la tarification la plus basse. 

Un adage populaire dit : "Quand il y a un flou, c'est qu'il y a un loup !" ....


 

EDITO DU 17 FÉVRIER 2014 

Mutuelles :
Le choix des prestataires est fait

Dans le cadre de la procédure de mise en concurrence pour la convention de participation à la protection sociale complémentaire (mutuelle) des agents, 6 propositions ont été réceptionnées pour le risque «santé» et 8 propositions pour le risque «prévoyance».

Le 11 février 2014, l'analyse des propositions nous a été présentée.

Pour le risque «santé» comme pour le risque «prévoyance», un prestataire est sorti du lot.

Il était prévu que le 13 février 2014 soit discuté le montant des participations «employeur» au vu de simulations sur le montant des cotisations réalisées par l’administration à partir des tarifications proposées.

Mais, à notre grande surprise, nous avons appris que la délibération du 21 février 2014 du Conseil de CUS ne ferait qu’entériner le choix du (ou des deux) prestataire(s), pour les risques «santé» et «prévoyance».

Le montant définitif de la participation «employeur» ne sera fixé que lors d'un Conseil de CUS ultérieur, qui n’est prévu qu'au mois de mai 2014.

Contrairement à toutes les annonces faites auparavant (voir Edito du 20 novembre 2013)

En attendant, les discussions sur le montant de la participation «employeur» se poursuivront.

En ce moment, nous ne sommes pas en mesure de fournir une quelconque indication sur le montant des futures cotisations effectivement à la charge des agents.

Date de dernière mise à jour : 05/07/2021