piscines

Le 11 août 2025, le chef du service Administration des ressources humaines a fait un retour à l'UNSA, comme promis (voir INCIDENTS DANS LES PISCINES / ACCIDENTS DE TRAVAIL).

4 situations problématiques avaient été signalées à l'UNSA :

• 3 situations seront régularisées, à priori dès la paie du mois d'août 2025,
• la quatrième situation fera l'objet d'une étude complémentaire de la part de l'administration.

Il y a peut-être d'autres situations problématiques dont nous n'avons pas connaissance. S'il y a lieu, n'hésitez pas à nous contacter.

Le 1^er juillet 2025, l'UNSA avait adressé un message à la DRH, qui avait répondu le 2 juillet 2025 (voir INCIDENTS DANS LES PISCINES / ACCIDENTS DE TRAVAIL). 

Interpelée par plusieurs des agent·es concerné·es, l'UNSA a adressé le 6 août 2025 le message suivant à la cellule GARSA :

"Nous vous sollicitons suite à notre intervention du 1er juillet 2025 auprès de (la DRH).

Nous avions demandé à ce qu’une reconnaissance immédiate en accident de travail soit faite pour les agent·es qui ont été exposés aux incidents dans les piscines et que les arrêts de travail ne soient pas saisis en « maladie ordinaire ».

Le 1^er juillet 2025, l'UNSA avait adressé le message suivant à la DRH : 

"Nous vous sollicitons dans le cadre des arrêts de travail des agent·es qui ont été exposés aux incidents dans les piscines, exposés aussi bien physiquement que psychologiquement. 

Nous demandons à ce qu’une reconnaissance immédiate en accident de travail soit faite. 

Ces collègues ne doivent pas être pénalisés financièrement avec un saisie de l’arrêt de travail en congé de « maladie ordinaire »."

L'administration nous a apporté certaines précisions quant aux incidents intervenus le dimanche 29 juin 2025 à la piscine du Waken et aux conséquences sur son fonctionnement.

Une collègue MNS a été blessée à la jambe et a été évacuée vers l’hôpital.  Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.

La piscine du Wacken à été fermée lundi à 14h00, notamment en raison d’effectifs insuffisants suite aux incidents de dimanche. Mesure reconduite jusqu'à mercredi.

Le 30 juin 2025, l'UNSA a adressé le message suivant au Président de la F3SCT :

"Nous avons été informés que deux nouveaux incidents étaient intervenus dans les piscines de l’EMS. Cette fois-ci à la piscine du Wacken.

Le premier, le dimanche 22 juin 2025, où il a fallu faire intervenir les forces de l’ordre (15 policiers) pour contenir le public qui voulait entrer de force dans la piscine, la fréquence maximale instantanée étant atteinte.

Le second, le dimanche 29 juin 2025 suite à une bagarre à l’intérieur de la piscine. Bagarre faisant, au moins, deux blessés : un médiateur et une MNS.

Le 11 juillet 2024, le service Aquaglisse nous a adressé le message suivant :

"Malgré le suivi quotidien et les révisions périodiques de notre patrimoine par l’équipe technique des piscines, nous rencontrons ces derniers jours une succession d’incidents techniques fortuits sur les piscines.

Le 22 juin 2023, la Direction des Sports nous a adressé le message suivant :

"Depuis près de deux années, nous rencontrons des problèmes importants de recrutement pour des agents techniques au sein de nos piscines. Ces difficultés récurrentes induisent une tension sur nos collègues du département «Techniques Piscines». De plus suite à l’expérimentation du projet Caravanage de l’année 2022, nous réitérons le dispositif durant l’été 2023.

Depuis le mois de décembre 2022, le département technique Piscines du service Patrimoine sportif teste une réorganisation "temporaire".

La régie technique piscine gère 9 piscines : Centre Nautique de Schiltigheim, Kibitzenau, Hautepierre, Wacken, Hardt, Ostwald, Lingolsheim, Robertsau, Abrapa.

Depuis 2020, la régie technique piscine, composée de 20 agents, a dû faire face à des départs (mutation, retraite), faisant passer les effectifs à 16 agents.

Le service Patrimoine sportif propose de répartir les agents de l'équipe LOHR (piscines de Lingolsheim, Ostwald, Hardt et Robertsau) vers les quatre grandes piscines (Wacken, Kibitzenau, Hautepierre, Schiligheim).

Cette réorganisation temporaire apparaît comme un pis-aller. En raison du manque d'attractivité, l'EMS n'arrive pas à recruter d'agents pour pourvoir les postes vacants !