Chaque mois, en raison de leurs règles, des millions de femmes subissent douleurs intenses, migraines, malaises, vomissements ou fatigue extrême.
Ces symptômes peuvent impacter leurs journées de travail, sans pour autant être reconnus comme un motif d’arrêt. L’Espagne l’a fait, pourquoi pas la France ?
L’UNSA demande l’inscription du congé menstruel dans la loi. Cette proposition est déjà soutenue par des milliers de signataires.