Point 2 : Présentation bilan Mut’Est Santé / Prévoyance MNT
M. LEVY, représentant commercial de la Mut’Est, nous a dressé un état succinct du bilan 2022-2023 des prestations et cotisations de la Mut’Est.
Pour le moment, le bilan est parfaitement équilibré.
Cet équilibre est possible dans la mesure où des jeunes adhèrent à la mutuelle. Ainsi, la solidarité intergénérationnelle peut s’opérer.
La DRH lui ayant accordé que peu de temps, il a été convenu qu’il repassera ultérieurement et qu’il nous présentera alors aussi le bilan chiffré de la MNT.
Point 3 : Présentation de l’enquête « déplacements des agent·es »
Mme GUIONIE, la collègue chargée de l’élaboration du plan multimodal au niveau de l’Eurométropole nous a fait un point sur le futur questionnaire qui sera adressé, après celui concernant le baromètre social, aux agent·es de notre collectivité.
Celui-ci devrait reprendre, en partie, les mêmes éléments que le précédent datant de 2021. Néanmoins, il sera plus épuré.
Nous l’avons questionnée sur la mise en œuvre de bornes électriques pour les collègues, avec une prise en charge totale ou partielle des frais de consommation électrique. La question est en cours de traitement auprès de la DRL.
Point 4 : Projet Santé Gynécologique
Le projet de santé gynécologique revêtira la forme de l’expérimentation qui démarrera en septembre de cette année pour une période de 2 ans.
Puis, un bilan sera fait avec des ajustements possibles.
Pour la mise en œuvre de ce dispositif, 3 étapes sont prévues :
- Communication, information et formation des responsables de service, formation facultative pour l’heure des encadrant·es direct·es.
- Adaptation de l’organisation du service pour les collègues atteintes de symptômes gynécologiques : facilités horaires et télétravail supplémentaire pour celles pouvant en disposer, vérification si accès possible à des toilettes à proximité pour les collègues exerçant leur activité sur le terrain.
- Autorisation spéciale d’absence pour raison gynécologique, 13 jours max dans l’année et 3 jours consécutifs mensuels.
Pour pouvoir en bénéficier, une attestation de leur gynécologue ou d’une sage-femme est indispensable. Ce certificat médical est valable 2 ans et permet l’octroi ensuite de ces ASA qui sont de droit et qui n’entraineront pas de prélèvement de journée de carence.
Les collègues bénéficiaires d’une RQTH n’auront pas besoin de consulter un spécialiste.
Passage au CST en mai 2024, puis délibération du conseil de l’EMS en juin 2024.