TELETRAVAIL

Le 12/02/2017

Dans FÉVRIER 2017

Le 10 février 2017 s’est tenue une réunion sur le télétravail.

L’administration a présenté ses propositions de déploiement du télétravail pour 2017, qui devraient être reprises dans une délibération-cadre à adopter le 31 mars 2017 par le Conseil de l'Eurométropole de Strasbourg.

L'UNSA a exprimé son désaccord avec plusieurs de ces propositions.

Nous rejetons principalement la limitation du nombre des nouveaux-elles télétravailleurs-leuses par l'instauration d'un quota annuel de 100, pour raison budgétaire. Tous-tes les agents-es - dont les activités permettent l'exercice du télétravail - doivent avoir la possibilité de télétravailler.

En conséquence, l'UNSA est également opposée à la mise en place de critères d'éligibilité au télétravail priorisés

Un de ces critères ne manque d’ailleurs pas de saveur. C’est celui des conditions de travail particulières :

  • Bureau partagé
  • Open space ou espace collaboratif
  • Conditions dégradées (lumière, bruit,...)

L'administration reconnait donc implicitement que son nouveau dada - espaces collaboratifs prévus au 38RH, avant une extension au Centre Administratif - va détériorer les conditions de travail des collègues installés-ées au 38RH.

Pour l'UNSA, l'amélioration des conditions de travail, en l'occurence dans les locaux administratifs, est une priorité. Le télétravail ne peut être un palliatif à de mauvaises conditions de travail. 

Autre point de désaccord : la limitation du télétravail à 2 jours par semaine ou par quinzaine, alors que le décret permet d’aller à 3 jours.