dialogue social

Dans JUIN 2017

RÉUNION "AGENDA SOCIAL" DU 3 JUILLET 2017

Le 29/06/2017

La réunion "Agenda social" du 3 juillet 2017 portera sur les engagements de la collectivité, suite aux revendications des organisations syndicales, en matière de :

  • Politique salariale, action sociale et pouvoir d’achat
  • Qualité de vie au travail
  • Responsabilité sociale de la collectivité
  • Accompagnement des agents et parcours professionnels
  • Organisation du travail et temps de travail
  • Dialogue social et méthode de négociation
Dans MAI 2017

L'UNSA FONCTION PUBLIQUE REÇUE PAR LE NOUVEAU MINISTRE GÉRALD DARMANIN

Le 25/05/2017

Le 24 mai 2017, pendant plus d’une heure, l’UNSA Fonction publique a exprimé ses interrogations et ses attentes au nouveau ministre, tout en regrettant qu’il n’y ait pas un ministère de la Fonction Publique à part entière.

L’UNSA Fonction publique a insisté sur le dialogue social et le respect des droits syndicaux, préalables indispensables à toute évolution envisagée du service public et de la fonction publique. Une réflexion sur les missions devra également précéder toute nouvelle perspective de réforme.

L’UNSA Fonction publique a réaffirmé son attachement au statut de la fonction publique et à son unicité.

Pour l’UNSA Fonction publique, tous les textes qui ont été négo­ciés et qui sont en ins­tance de publi­ca­tion au JO doi­vent l’être rapidement, qu’ils concer­nent la car­rière des agents ou la loi de déon­to­lo­gie du 20 avril 2016.

Dans MAI 2017

NOUVEAU GOUVERNEMENT : POUR L'UNSA FONCTION PUBLIQUE, DES ATTENTES ET UNE INQUIÉTUDE !

Le 18/05/2017

Le gou­ver­ne­ment est main­te­nant connu. L’absence d’un minis­tre de la Fonction publi­que est un mau­vais signal donné aux agents. Alors qu’ils repré­sen­tent un emploi sur cinq et que leurs mis­sions cons­ti­tuent une richesse pour l’attrac­ti­vité de la France, les agents publics n’auront plus de minis­tre en propre !

La réu­nion de l’action publi­que et des comp­tes publics dans un même minis­tère est inquié­tante. Elle ren­voie à un passé gouvernemental que l’on pen­sait révolu, où la RGPP avait réduit la poli­ti­que fonc­tion publi­que à une ges­tion méca­ni­que par les seuls coûts.

La cam­pa­gne pré­si­den­tielle a été mar­quée par un débat sur le nombre de fonc­tion­nai­res dans le pays. L’annonce comp­ta­ble de la sup­pres­sion de mil­liers de postes d’agents publics, indé­pen­dam­ment d’un débat sur les mis­sions rem­plies, réduit les fonctionnaires à un coût pour la Nation. Hors, la qua­lité des ser­vi­ces publics d’éducation, de santé, de sécu­rité, de trans­ports... participe de l’attrac­ti­vité et de la com­pé­ti­ti­vité de notre pays et de ses entre­pri­ses.